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migrant clandestin

  • Saint-Gaudens (31) : Malik, un migrant clandestin, tente d’étrangler Manon sa compagne depuis 3 mois qui est déjà enceinte. Il n’était pas d’accord que l’enfant porte le nom de sa mère.

    Publié par Guy de Laferrière le 09 novembre 2024


    *Malik, 31 ans et *Manon, 33 ans se sont rencontrés mi juillet, ils ont rapidement décidé d’avoir un bébé – et Manon est aussitôt tombée enceinte.

    Manon souhaite que l’enfant porte son nom, Malik n’est pas d’accord. Il tape du poing sur la table, elle l’invite à plusieurs reprises à quitter le domicile. Il la bouscule, elle chute au sol. A califourchon sur son ventre il lui enfonce les doigts dans les yeux avant de tenter de l’étrangler. “Je me voyais mourir. En désespoir de cause, j’ai fait la morte”, narre Manon terrorisée, qui porte encore sur son visage et sur son cou les stigmates de cette scène d’effroi commencée vers 1 heure et qui a duré jusqu’à 4 heures du matin. “Toi et moi on va mourir”, avait aussi lancé Malik en plaçant un fil autour de son cou pour s’étrangler, simulant une tentative de suicide.

    “Etranger en situation irrégulière, le prévenu a cherché une protection relative par rapport à l’expulsion qu’il encourt, sachant qu’étant père d’un enfant né sur le territoire français, il ne peut être expulsé”

    Après délibéré, le prévenu écope de 6 mois de détention sous mandat de dépôt. Il se voit prononcer une interdiction de contact et une interdiction de territoire pendant 3 ans.

    ladepeche.fr via fdesouche

  • « Coup de boule comme Zidane » : Mohamed, un migrant clandestin de 19 ans, frappait régulièrement sa tante pour qu’elle lui donne de l’argent

    Publié par Guy de Laferrière le 22 mars 2023

    “Je la forçais à me donner de l’argent pour acheter des affaires.” Devant le tribunal correctionnel de Foix (Ariège), Mohamed laisse peu de place au suspense. Ce mardi 21 mars 2023, après avoir nié les faits pendant toute la procédure, le jeune homme de 19 ans avoue avoir violenté sa tante Malika* en vue d’obtenir des fonds, le rendant coupable d’extorsion par violence, menace ou contrainte.

    […]

     

    Alors que Malika ne touche que 1 300 euros par mois, avec le retour du neveu en Ariège, les débits de carte bleue explosent. De septembre à janvier, ils s’avèrent être bien supérieurs à son revenu. 6 895 euros sont par exemple dépensés en novembre. “Le prévenu a semble-t-il des goûts de luxe”, assure le procureur de la République de Foix. Une veste à 900 euros est en effet ajoutée à la longue liste des achats.

    […]

     

    Mohamed a finalement été condamné à 12 mois de prison, dont six assortis d’un sursis simple, tout en étant maintenu en détention. Une interdiction de séjour en Ariège pendant trois ans a également été prononcée. Pleurant à chaudes larmes, le prévenu a dit au revoir à sa tante depuis le box.

    La Dépêche via fdesouche

  • Boissy-le-Châtel (77) : pour échapper à un contrôle, il compose le « 17 » et invente un enlèvement en cours ; un migrant clandestin interpellé

    Publié par Guy de Laferrière le 13 mars 2023

    Les enquêteurs ont mené des investigations et se sont rendus compte que cette affaire d’enlèvement avait été inventée. Ils ont retrouvé l’homme à l’origine de l’appel qui a été condamné à quatre mois de prison avec sursis et à une amende de 1500 euros.

    Une fausse alerte pour tenter d’échapper à un contrôle de police qui se termine par une condamnation. Le 28 février dernier, un homme a composé le 17 pour alerter la police, affirmant qu’il assistait en direct à un enlèvement à Boissy-le-Châtel (Seine-et-Marne) raconte Le Parisien. Selon le requérant, quatre hommes armés de fusils et de battes de base-ball ont arrêté de force un automobiliste avant de l’obliger à monter dans une Peugeot 207 et de s’enfuir.

    Lorsque les policiers sont arrivés sur place, ils ont découvert que le témoin avait disparu et que la zone était déserte. Les techniciens de l’identité judiciaire de la police judiciaire de Meaux sont alors intervenus pour essayer de trouver des indices sur les lieux, mais n’ont rien découvert.

    Le lendemain, les enquêteurs ont repris leurs investigations, mobilisant de nombreux enquêteurs de la PJ de Meaux et de Coulommiers, ainsi qu’un substitut du procureur de Meaux. Ils ont envisagé toutes les hypothèses et ont examiné attentivement une Peugeot 207 qui pourrait correspondre à celle des ravisseurs. Ils ont également exploité le numéro de téléphone ayant contacté les secours.

    Finalement, les policiers ont réussi à contacter l’homme ayant donné l’alerte, qui a fini par leur avouer qu’il avait… tout inventé. Le trentenaire, qui est le patron d’un garage en Seine-Saint-Denis, a ensuite été convoqué par les enquêteurs de la PJ de Meaux. Il ne s’est pas présenté aux deux premiers rendez-vous mais s’est présenté au troisième, ce mercredi.

    En situation irrégulière, sans permis et sous l’empire de la drogue

    Le soir de son appel calomnieux, le gérant automobile était venu chercher une Renault Clio avec deux mécaniciens. L’un des employés a pris le volant, tandis que le second s’est installé à côté. Peu après, le convoi a été arrêté lors d’un contrôle de police. Le conducteur de la Clio était en situation irrégulière, sans permis et était positif aux stupéfiants. Pour tenter de détourner l’attention de la police, le trentenaire a décidé de composer le 17 et d’inventer un enlèvement. La procédure visant ce mécanicien sans-papiers ne s’est pas arrêtée.

    Le gérant a été condamné par le tribunal correctionnel de Meaux ce jeudi, dans le cadre d’une procédure de “plaider-coupable”, à une peine de quatre mois de prison avec sursis et à une amende de 1500 euros. L’article 434-21 du code pénal prévoit une peine de six mois d’emprisonnement et une amende de 7500 euros pour avoir dénoncé de manière mensongère des faits constitutifs d’un crime ou d’un délit qui ont exposé les autorités judiciaires à des recherches inutiles.

    Actu 17 via fdesouche

  • Évreux (27) : un migrant clandestin défavorablement connu de la police, et qui fait l’objet d’une OQTF, soupçonné de viol sur une femme handicapée mentale dans un hôpital psychiatrique

    Publié par Guy de Laferrière le 13 mars 2023

    L’affaire est pour le moins sordide. Vendredi 10 mars au soir, les policiers ont été appelés par les personnels d’un hôpital psychiatrique d’Évreux (Eure) qui leur ont signalé le viol d’une patiente de 24 ans atteinte d’une lourde déficience mentale. L’homme suspecté des faits est un autre patient qui se serait introduit dans la chambre de la jeune femme avant de la conduire dans la salle de bain, de la déshabiller et de la violer.

    Le suspect, hospitalisé dans une autre aile de l’hôpital sans contrainte particulière pour ses déplacements, est défavorablement connu de la police et de la justice, et fait l’objet d’une obligation de quitter le territoire français (OQTF). 

    Sur demande du parquet, il n’a pas été interpellé avant que la victime ne soit entendue par la sûreté départementale.

    TF1 via fdesouche

  • Toulon : un dealer migrant clandestin sous OQTF blesse des policiers jeudi, est relâché, puis récidive lundi

    Publié par Guy de Laferrière le 07 mars 2023

    Interpellé dans la cité des Œillets jeudi dernier et remis en liberté, ce Tunisien en situation irrégulière a de nouveau blessé un policier ce lundi et été placé en garde à vue.

    (…)

    Un clandestin tunisien, sous le coup de trois obligations de quitter le territoire français (OQTF), a agressé et blessé un policier, en le mordant au sang à la main gauche, sur un point de deal de la cité des Œillets, à Toulon, dans le Var, vers 23h ce lundi soir, selon nos informations.

    Valeurs Actuelles via fdesouche